22/03/2017
"Le simple fait de tracer de nouveaux itinéraires..."
Il faudrait s’effacer, disparaître une bonne fois pour toutes. Pas question de suicide, ici, évidemment. Non, s’en aller. Je ne sais pas si « s’en aller » est le mot juste. La distance géographique n’est pas nécessaire, pas forcément. Pour commencer, habiter dans un autre quartier, si la ville est assez grande ; cela suffirait, au moins dans un premier temps. Il y aurait un nouvel appartement, une nouvelle maison, un autre jardin, une autre vue sur les toits, les arbres, le clocher des églises…
Le simple fait de tracer de nouveaux itinéraires me rendrait presque invisible, ce qui serait un bon début. La forme de la ville changerait, les visages croisés également. Il faudrait jouer avec les horaires aussi, ne plus sortir aux mêmes heures. Cela pourrait satisfaire un moment cet impérieux besoin d’être ailleurs et autrement.
Ne prévenir personne, ne pas faire de grandes annonces, éviter le pathos.
Jérôme Leroy, « Un peu tard dans la saison »
08:04 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, un peu tard dans la saison, éditions la table ronde
18/03/2017
"Un peu tard dans la saison"
09:04 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, un peu tard dans la saison
02/03/2017
Un extrait
18:00 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nuit grave, la boucherie littéraire, patrice maltaverne, paola pigani, jérôme leroy
27/12/2016
Poésie & polar # 2
00:00 Publié dans polar | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : jérôme leroy, jean-claude pirotte, charles bukowski, richard brautigan
22/11/2016
Poésie & Polar # 1
13:18 Publié dans planches, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, le bloc, fondu au noir, maison de la poésie de nante, le lieu unique, poésie et polar, polar, poésie
03/11/2016
Thierry Marignac
Ma vidéo du jeudi.
Pour la compléter, ma critique de "FASCISTE", le premier roman de Marignac.
A signaler : Thierry Marignac est devenu depuis peu le directeur de la collection "Zapoï" chez "La manufacture de livres". Plus de précisions : ICI
11:07 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thierry marignac, marignac, cargo sobre, jérôme leroy, éditions vagabonde
21/09/2016
En novembre, à Nantes...
DES INDICES...
23:51 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon !, planches, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, fondu au noir, caroline de benedetti, le lieu unique, nantes
03/07/2016
Mort de Yves Bonnefoy
" Yves Bonnefoy explique en grande partie aujourd'hui pourquoi plus personne ne lit de la poésie, devenue une discipline universitaire comme, par exemple, la physique nucléaire ou la gastro-entérologie. Mais ça changera peut-être quand il sera traduit en français. "
Jérôme Leroy
10:37 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : bonnefoy, yves bonnefoy, jérôme leroy, emile puyg, realpoetik
16/06/2016
Vrac de vrac # 37
Jérôme Leroy parle de mon livre "PARDON MY FRENCH" du côté de chez "Causeur", et c'est pour me mettre dans le même sac que Jean-Claude Pirotte et Jean-Pierre Andrevon ! ça fait longtemps que je n'avais pas été aussi bien traité !
Autrement ? Une photo de ce qui aura été ma dernière lecture avec "Le syndicat des poètes qui vont mourir un jour" (c'était à la Mjc de Chaponost).
(de g. à d. : Michel Thion, Chéri-Bibi, Paola Pigani, Bernard Deglet, Samantha Barendson, Yve Bressande)
J’ai quitté ce collectif voilà peu, et la qualité des membres qui le composent (du temps où j'en faisais partie) n’est pas en cause. C’est juste que la vie blabla, la tectonique des plaques blablabla, les phéromones blablablabla… sans compter l’influence de la lune sur les 70% (80%?) de flotte qui nous compose, les « forces secrètes de la poésie » comme disait Tonton Cocteau, et tout le toutim.
La suite ?
01:23 Publié dans oreillettes, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bjork, le syndicat des poètes qui vont mourir un jour, jérôme leroy, pardon my french























