22/11/2016
Poésie & Polar # 1
13:18 Publié dans planches, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, le bloc, fondu au noir, maison de la poésie de nante, le lieu unique, poésie et polar, polar, poésie
03/11/2016
Thierry Marignac
Ma vidéo du jeudi.
Pour la compléter, ma critique de "FASCISTE", le premier roman de Marignac.
A signaler : Thierry Marignac est devenu depuis peu le directeur de la collection "Zapoï" chez "La manufacture de livres". Plus de précisions : ICI
11:07 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : thierry marignac, marignac, cargo sobre, jérôme leroy, éditions vagabonde
21/09/2016
En novembre, à Nantes...
DES INDICES...
23:51 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon !, planches, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, fondu au noir, caroline de benedetti, le lieu unique, nantes
03/07/2016
Mort de Yves Bonnefoy
" Yves Bonnefoy explique en grande partie aujourd'hui pourquoi plus personne ne lit de la poésie, devenue une discipline universitaire comme, par exemple, la physique nucléaire ou la gastro-entérologie. Mais ça changera peut-être quand il sera traduit en français. "
Jérôme Leroy
10:37 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : bonnefoy, yves bonnefoy, jérôme leroy, emile puyg, realpoetik
16/06/2016
Vrac de vrac # 37
Jérôme Leroy parle de mon livre "PARDON MY FRENCH" du côté de chez "Causeur", et c'est pour me mettre dans le même sac que Jean-Claude Pirotte et Jean-Pierre Andrevon ! ça fait longtemps que je n'avais pas été aussi bien traité !
Autrement ? Une photo de ce qui aura été ma dernière lecture avec "Le syndicat des poètes qui vont mourir un jour" (c'était à la Mjc de Chaponost).
(de g. à d. : Michel Thion, Chéri-Bibi, Paola Pigani, Bernard Deglet, Samantha Barendson, Yve Bressande)
J’ai quitté ce collectif voilà peu, et la qualité des membres qui le composent (du temps où j'en faisais partie) n’est pas en cause. C’est juste que la vie blabla, la tectonique des plaques blablabla, les phéromones blablablabla… sans compter l’influence de la lune sur les 70% (80%?) de flotte qui nous compose, les « forces secrètes de la poésie » comme disait Tonton Cocteau, et tout le toutim.
La suite ?
01:23 Publié dans oreillettes, où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bjork, le syndicat des poètes qui vont mourir un jour, jérôme leroy, pardon my french
08/02/2016
Corbière (suite)
Pas mal d’échos ces derniers temps autour de mon petit essai (très libre) consacré à Tristan Corbière (poète sur-maudit punk & breton du XIXème siècle).
Une sélection :
Ce bel article signé Jérôme Leroy dans « Causeur » !
Du côté de France-Culture (émission « Les nouveaux chemins de la connaissance » du 8 janvier), ICI.
Sur le site « Remue.net », une critique de Jacques Josse là.
Le commander ? C’est de ce côté.
14:10 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : corbière, editions le feu sacré, jérôme leroy, causeur, jacques josse, remue.net, france-culture
17/10/2015
Dans le gratin de la crême des cerises sur le gâteau...
00:11 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy
07/05/2015
Option Valparaiso
… et personne ne saura
Que je suis là-bas
Absolument personne
Car personne n’y pense
Car personne n’y passe
Sauf dans les chansons.
00:05 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jérôme leroy, sauf dans les chansons, éditions la table ronde
12/02/2015
"L'ANGE GARDIEN" # 2
« D’abord faire parler Simon Polaris
Berthet va dans le fond de l’appartement.
Pour ce faire, Berthet longe un couloir. Sur la gauche, le couloir donne sur deux grandes pièces que Berthet a meublées peu à peu depuis 98, à chacun de ses séjours à Lisbonne, en chinant su le marché aux puces de Feira da Ladra ou encore chez les brocanteurs et antiquaires du Bairro Alto.
Sans que Berthet l’ait vraiment voulu, l’appartement de Berthet ressemble maintenant à celui d’un petit-bourgeois portugais du temps du dernier roi du Portugal, vers 1910. Disons que la dominante est austère, sombre, avec buffets, consoles, tables et chaises qui hésitent entre le néogothique et le néomanuelin tout en gardant une compoction dans l’efflorescence. Dans la chambre, le lit est à baldaquin et c’est Berthet qui a remplacé la vieille frise d’azulejos qui court tout autour du mur par une plus fraîche, mais d’époque, presque carreau par carrreau, se transformant en carreleur chaque fois qu’il trouvait un lot de carrés à son goût chez un broque.
Sur les murs du couloir, pour égayer, si l’on peut dire, Berthet a trouvé des scènes de naufrages qu’il a préférées aux tableaux représentant des scènes rurales. Ou des cartes géographiques. On trouve aussi de belles cartes marines. Oui, Berthet fut cet enfant amoureux de cartes et d’estampes, ce qui ne va pas l’empêcher de torturer à mort un autre homme dans les minutes qui viennent.
Seuls, dans la pièce qui sert de salon, deux éléments indiquent une note propre à Berthet, au rêve que Berthet poursuit : il y a les deux fauteuils clubs en cuir et les rayonnages colorés par les tranches des livres d’une bibliothèque ne comportant presque que de la poésie. Si nous avions le temps, nous constaterions que ces livres sont les mêmes que l’on pourrai trouver dans les autres planques que Berthet juge sûres, personnelles en quelque sorte, c’est-à-dire une dizaine, comme avenue Daumesnil.
Berthet achète toujours les recueils de poésie qu’il aime en plusieurs exemplaires, dans des librairies différentes. Berthet se comporte avec la poésie comme avec les armes ou les substances dangereuses. Varier les endroits où se procurer le matériel, ne pas dépendre d’une seule source d’approvisionnement. »
17:57 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : l'ange gardien, jérôme leroy, série noire